Et j'ai ri
(Ou Rendre à César...)
Dans les langueurs de l'ennui
Dans la torpeur de ce monde endormi
Amusez-nous
Mes chéris !
Je vous regarde
Vous écoute
Vous épie
Je vous traque
Vous sang
Vous sais
Gré
Du vent
Et de la tempête
Que l'on sème
Mes belles
Récoltent
Parmi les belles
Comme cette musique
Si douce à mes oreilles
Vous carillonnez
Pour vous annoncer
Avancez
Dans la morosité
Aujourd'hui
Vous serez
Célébrées
Gloire aux muses
Sans vous
Rien
Naît
Possible
Le peintre reste
Un barbouilleur
Sans ce modèle
Qui lui insuffle
Tant...
L'écrivain reste
Un scribouillard
Sans l'être
Qui le pousse
À sublimer
Sa plume
Le poète
Un rimailleur
Sans l'ange
Qui lui souffle
Ses lyriques
Envolées
Un brun
Parfois lubrique
Et le plus beau
Dans toute
Cette fantaisie
Jolies muses
Comme le bel
Innocent
Vous ignorez
Votre talent
Alors merci
Petites fées
Penchées sur
Nos épaules...
Longue vie
À vous
Sans qui
Il n'y aurait
Rien.
Quand les muses s'amusent.....
RépondreSupprimer… pour la galerie (d'art), qui ne reste pas de glaces ^^
SupprimerMais c'est Versailles !
SupprimerHaut lieu de réflexion pour mener une vie de château, comme chacun le sait 🙃
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