Serpentine
Quetzalcóatl
Ding ?
Dong…
L'horloge ?
Ou bien toi,
Petit serpent de bois
Qui t'insinues en moi ?
Je bois à ma santé
Précaire
À mes nuits
Solitaires
À ces dimanches sous la pluie
Où je ne suis qu'avec toi…
Alors, laisse-moi plonger
Dans ton regard ébène,
Et de mes prunelles salées
Efface la peine.
Extatique sourire !
Mon reflet dans la psyché
Me rappelle que je ne veux
Mourir.
Et même si je cherche
Vainement encore
Ses doigts
Dans ma chevelure
Enroulée comme
Vipère au poing,
Je suis bien toute seule
Tant que j'ai ce boa avec moi.
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